LA PEAU NOUVELLE - LE CORSET VIVANT
Œuvre vivante présentée à Art Basel Paris 2025.
Là où la peinture devient peau. Là où la couture devient prière.
LA PEAU NOUVELLE - Un projet intime, radical, mystérieux.
Sous le titre La Peau Nouvelle, Medusa Divine Art signe une œuvre vivante, à la croisée de l’art contemporain, de la haute couture et du rituel.
Présentée au Grand Palais Éphémère pendant Art Basel Paris 2025, Le Corset Vivant apparaît comme une vision — une métamorphose en direct, une offrande d’art et de chair.
Créé à partir d’une véritable peinture, le corset n’a pas été cousu mais déchiré, sculpté, lacéré, reconstitué.
Chaque couche a été travaillée à la main — comme on peint une peau, comme on guérit une mémoire.
Cette fusion inédite entre beaux-arts et couture fait de Medusa Divine Art la première artiste à concevoir une pièce vestimentaire comme tableau vivant, un manifeste porté sur le corps.
Une révolution intime, où l’art quitte la toile pour épouser la chair.
Le résultat : un corset d’âme et de matière, mêlant toile brute, pigments, or et visages peints — des fragments de femmes, de mythes, de silences.
Un vêtement sacré qui semble respirer, souffrir et renaître avec celle qui le porte.
Lors de son apparition à Paris, l’artiste devient muse et créatrice de sa propre légende.
Son corps se fait autel, sa présence — rituel.
Ni performance, ni défilé : un moment suspendu où la beauté s’incarne dans la vulnérabilité et la puissance.
Dans la série éditoriale, la lumière glisse sur cette seconde peau d’or, révélant la fragilité du geste et la démesure du regard.
Ici, le corps n’est plus un objet de mode, mais un territoire spirituel, une déclaration de liberté.
Medusa Divine Art signe une œuvre totale — visionnaire, viscérale, inoubliable.
MANIFESTE / POÈME
Je n’ai pas commencé avec une aiguille.
J’ai commencé avec la douleur, un pinceau, et une plume.
J’ai puisé mes couleurs dans l’ombre de mon âme.
J’ai déchiré la toile.
Je l’ai sacrifiée.
Des poignées de passé
recousues sur ma poitrine.
Elles sont devenues armure.
Elles sont devenues prière.
Je me suis habillée de ma toile.
De tout ce que j’ai traversé.
Maintenant, je suis là.
Nue dans une armure.
Vulnérable dans une force infinie.
Ce n’est pas un costume.
C’est une Renaissance.
C’est La Peau Nouvelle.
Avant la lumière, il y a la coupe.
Avant l’incarnation, le sacrifice.
Ces fragments sont les restes d’un cri.
Les lambeaux d’un passé, recousus en peau nouvelle.
Ici, l’atelier devient autel.
Chaque tissu, chaque entaille devient mémoire.
Ce n’est pas de la couture.
C’est une dissection de l’âme.
Tension du tissu sur le châssis — chaque geste ancre l’âme dans la matière.
Fragments de corps, fragments d’être — la toile devient une mémoire vivante en construction.
Graver, tracer, inciser… chaque ligne est un cri silencieux de métamorphose.
La peau peinte, écorchée, révélée — l’art comme dissection sacrée de l’intime.
Medusa Divine Art collabore avec des curateurs visionnaires, directeurs artistiques, rédacteurs et maisons d’art partageant une même recherche : dépasser la forme pour toucher l’essence.
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